samedi 1 septembre 2012

[Interview]Les enfants du volcan de Bernard Simonay


Coucou, voici l'article prévu pour le 1er septembre. Bonne lecture !!! N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez, juste en dessous de l'article !!!

Au hasard de mes choix dans ma bibliothèque préférée, j’ai pris un livre, que j’ai ensuite laissé de côté deux ou trois jours, le temps de finir les autres. J’ai repris ledit livre, je l’ouvre et là, je le dévore (miam !!!). Après lecture du livre, je me suis dit qu’il fallait faire quelque chose de plus. Je me suis rendue sur le site Internet de l’auteur pour en savoir un peu plus sur lui : Bernard Simonay, site officiel. Le site est très complet avec le premier chapitre pour chaque livre (comme ça, si vous souhaitez vous faire un avis avant, vous pouvez). J’ai constaté que l’on pouvait le contacter, je me suis donc laissée tenter. Après réponse, très rapide de sa part, je me suis permise de lui envoyer quelques questions, à laquelle il a eu la gentillesse de répondre. Elles se trouvent un peu plus bas dans l’article. Mais tout d’abord, présentation.


Biographie de l’auteur : Elle sera succincte car je vous invite à aller lire celle qu’il a écrite lui-même. Bernard Simonay est un écrivain français né en 1951 à Paris (un parisien, mais un parisien campagnard !!!). Il a fait des études de maths avant de commencer à écrire sa première œuvre Phénix, publié en 1986 (et oui, je n’étais pas née), les deux autres tomes de la trilogie suivront à deux ans d’intervalle. Ils formeront Le cycle de Phénix, trilogie de fantasy. Voici sa photo pour pouvoir le reconnaître dans la rue ou dans un salon (du livre).


Je vais maintenant vous laisser lire le résumé du livre : Les enfants du volcan.

Résumé du livre : La Chaîne des volcans d’Auvergne, il y a huit mille ans… Noï-Rah, (l’héroïne) dont le nom signifie « celle-qui-apporte-la-lumière », a dix ans et vit dans un petit village de pasteurs agriculteurs. Au moment de sa naissance, une prophétie a prédit qu’elle apporterait de profonds bouleversements dans l’existence des siens. Enlevée par les khorgs qui habitent le pays inquiétant où les montagnes crachent le feu, elle va vivre de multiples aventures, affronter des ennemis impitoyables acharnés à sa perte, mais aussi rencontrer l’amour et la passion. Son intelligence remarquable lui permettra de faire plusieurs découvertes, comme l’écriture. Son courage la poussera à prendre la défense des plus faibles face à la brutalité du terrible Rogh, chef de la tribu des chasseurs. Mais surtout, un lien étrange la relier a à un volcan, l’impressionnant Pa’hav, dont tous redoutent les colères. Cette relation singulière fera d’elle une femme hors du commun, appelée à devenir la mère d’une nation.

Interview :

Lize : Pourquoi avez-vous choisi de travailler sur le thème de la préhistoire ?

Bernard Simonay : J’ai toujours aimé les romans sur la préhistoire, ceux de Rosny Aîné comme ceux de Jean Auel. J’aime aussi beaucoup l’Auvergne des volcans. Sachant que certains d’entre eux étaient encore en activité il y a 6000 ans, j’ai eu envie d’aller y faire un tour. 6000 ans, c’est une fraction de seconde en regard de la durée de vie de la Terre. Et ces volcans ne sont pas éteints, ils ne sont qu’endormis. Il est très possible que l’un d’eux décide de se réveiller un jour ou l’autre…

Lize : J'ai vu à travers la liste de vos livres que les sujets de vos livres sont assez différents les uns des autres, comment faites-vous pour les choisir ?

Bernard Simonay : Le choix des thèmes de mes romans ? C’est un peu comme un voyage. Selon que l’on se rende en Asie, en Afrique ou en Antarctique, le décor sera différent. Et j’adore voyager. Pour un roman, il faut aussi rajouter la dimension temporelle, l’époque. Cela fait beaucoup de critères sympathiques pour organiser un voyage « littéraire ». Je me laisse guider par l’intuition, par l’envie d’aller quelque part, à une époque donnée. Pourquoi ? Mystère. L’intuition est un phénomène que l’on a beaucoup de mal à expliquer. L’idée d’un roman surgit d’un coup, comme ça, sans qu’on sache pourquoi. Mais quand elle surgit, tout se met en place comme par miracle.

Lize : Les enfants du volcan est un livre riche en renseignements sur les techniques et les inventions de l'époque. Quelles inventions ou techniques avez-vous le plus (re)découvert, hormis l'écriture (bien entendu) ?

Bernard Simonay : Toutes celles qui étaient connues à l’époque, la poterie, le tissage, la construction des maisons, l’utilisation de certains outils et de certaines armes, comme l’arc, qui commençait à peine à remplacer l’antique propulseur. La sédentarisation a obligé les hommes à faire preuve d’inventivité pour améliorer leurs conditions de vie.

Lize : L'Auvergne, où se déroule l'ensemble du roman, est une magnifique région, vous y êtes-vous rendu pour vous imprégner de l'atmosphère ?

Bernard Simonay : Plusieurs fois. J’ai aussi beaucoup lu et vu des documentaires, pour découvrir des petits détails intéressants, comme ces grottes qui soufflent de l’air glacial à proximité même des volcans.

Lize : J'ai lu le roman préhistoire Les enfants de la Terre de Auel, l'avez-vous lu ? Si oui, qu'en avez-vous pensé ?

Bernard Simonay : J’ai lu la série, sauf le dernier. C’est excellent. Je pense qu’il est difficile de faire mieux. C’est pour cette raison que j’ai choisi une autre époque, celle qui précède la période historique. Jean Auel réunit tous les ingrédients qui font les grands romans : une héroïne volontaire, belle et attachante, des coups de théâtre, une grande richesse dans la création de l’atmosphère et du décor, des rebondissements et une exploitation exhaustive de tous les thèmes de la préhistoire. C’est aussi une histoire intemporelle, qui décrit tout ce que peut rencontrer une femme dans notre monde. Et l’époque n’y change rien, même si le machisme a tendance à reculer aujourd’hui. Il y a encore beaucoup de chemin à faire avant de pouvoir nous prétendre civilisés.

Lize : J'ai vu que vous aviez mis un peu de vous-même dans votre livre avec la référence aux renards de votre enfance. Mettez-vous toujours une référence aussi précise dans vos autres romans ?

Bernard Simonay : C’est une coïncidence involontaire. Je n’aime pas parler de moi dans mes romans. J’évite même d’utiliser des prénoms de mon entourage, afin que mes proches ne se croient pas « inclus » dans mes romans.

Lize : Une dernière petite question : A quelle fréquence écrivez-vous ? (je sais que ce n'est pas toujours régulier mais en règle générale). Avez-vous un moment de la journée où vous aimez écrire plus qu'à d'autres moments ? Avez-vous un lieu où vous aimez écrire également ?

Bernard Simonay : J’écris en moyenne 3 romans tous les 2 ans. Je n’ai pas de moments privilégiés. L’inspiration n’a pas d’heure. J’écris généralement dans mon bureau, mais je peux aussi prendre des notes ou même écrire des chapitres à l’extérieur, dans un café ou un restaurant quand je suis en déplacement. Le bruit ne me gêne pas. Quand j’écris, je n’entends plus ce qui se passe autour de moi.

Mon avis: Les enfants du volcan est un BON livre. Il nous dépayse, il nous transporte dans l’époque. Les personnages sont attachants, on a envie de savoir ce qui va leur arriver. Les descriptions sont bien faites, ce qui nous permet de voir les paysages décrits ou les personnages, les outils, les animaux. Il réunit tous les ingrédients qui font un bon livre. A lire !!! (N’oubliez pas que vous pouvez aussi me donner votre avis par hibou).

Je vous laisse admirer Pa’hav/Pavin, héros de ce roman.

Zélie

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lundi 20 août 2012

Premier Article Littéraire écrit (été 2006)

Parce que cet article a beaucoup de valeur pour moi, je tiens à vous le faire partager. 
Il s'agit de mon tout premier article. 
Écrit pendant de l'été 2006 (presque 6 ans maintenant), l'été de mon BAC en somme  et publié pour la première édition du web-journal, le Pidi. 
Un gros wub à Avrildemai qui a commencé l'aventure avec moi !!!
Voici sans plus attendre mon premier article. 
Attention, il est publié ici tel qu'il a été publié sur le site, aucune retouche n'a été faite.  
 

Treize à la douzaine de Ernestine et Franck Gilbreth.



(Traduit de l’américain sous le titre de Chaper by The dozen)


Première édition: 1949
Prix Scarron:1951
Collection: Folio
Genre: Histoire vraie, humour
Connaissez-vous une famille nombreuse où tout le monde a les cheveux roux?

Et non, raté, ça n’est pas les Weasley. Ce n’est pas eux, mais une famille moldue très originale.
Mr et Mrs Gilbreth, tout deux spécialistes du rendement avaient décidé le jour de leur mariage qu'ils auraient 12 enfants. Et ainsi fût fait. Six filles et six garçons vinrent au monde de 1906 à 1922. Douze petits rouquins prénommés Anne, Marie, Ernestine, Marthe, Franck, Bob, Liliane, Fred, Daniel, Jack, Robert et Jane. Le père, obsédé par le rendement, croit pouvoir gérer sa famille comme on gère une entreprise, pour cela il regorge d'inventivité.
Un exemple parmi tant d’autres, pendant leurs vacances, Mr Gilbreth tente d’enseigner le morse à ses enfants de manière ludique. Pour cela, il s’amuse devant ses enfants ébahis à dessiner d’étranges traits sur les murs ou sur le plafond. L’alphabet morse est ainsi inscrit au dessus de leurs lits et c’est sans aucune contrainte que leur cerveau retient les différentes combinaisons. Pour amuser ses enfants, et améliorer leur alphabet par le jeu, le père dispose des messages codés un peu partout dans la maison. Les enfants se laissent entraîner dans cette chasse au trésor instructive malgré leurs première réticence à un nouvel apprentissage, s’amusant à déchiffrer les multiples messages dans l‘espoir d’obtenir une surprises qui parfois laissait place à une déconvenue. C’est ainsi que les aînés Gilbreth apprirent l’alphabet morse jusqu’à le connaître sur le bout des doigts à la fin de leurs vacances.


Mais leur père avait plus d’un tour dans son sac, et ses enseignements ne s’arrêtèrent pas là. Il leur fit également apprendre à manœuvrer un bateau et … nous n’en dirons pas plus! Nous vous laissons savourer par vous-même les multiples petites anecdotes qui font toute la saveur de l’histoire. Et découvrir par vous-même que les ressources de Mr Gilbreth allaient bien plus loin que l’enseignement de ses enfants, comment apprendre une langue étrangère en se brossant les dents ? Soigner à la chaîne toute une famille atteinte de rougeole ? Enlever les amygdales en série ?
Vous ne nous croyez pas? Alors foncez lire par vous-même les aventures de cette famille extraordinaire. 


Et si vous aimez le livre, sachez qu’il existe une suite:
Six filles à marier, des mêmes auteurs, dans la collection « livre de poche jeunesse«.
A voir également, malgré l’éloignement total avec le livre, le film Treize à La douzaine 1 & 2 avec Helen Hunt, Steve Martin, Hilary Duff et Tom Welling.
En espérant que cet article vous a plu. Et vous a rappelé de bons souvenirs !!!!
 
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mardi 14 août 2012

[Interview]Nanet et la Complainte d'Irwan

- Bonjour Nanet !

- Bonjour Lize !

- J’ai tenu à faire cette interview car je te connais depuis un moment maintenant et je suis heureuse de voir ton projet prendre cette forme si belle qu’est un livre. Pour ceux qui ne te connaissent pas, peux-tu te présenter ?

- Je suis très contente que ce soit toi qui m’interviewe, pour la première fois de ma vie. Alors, côté URL : Nanet est le pseudo que j'utilise tout le temps, étant un surnom que l'on me donne aussi en IRL... c'est peu à peu devenu une véritable identité. J'ai un blog où je parle de mes lectures.
 
Si vous souhaitez parcourir l’univers de Nanet, rendez-vous sur son blog en suivant ce lien 
: Le blog
 
- Merci. IRL : J’ai un job passionnant dans la santé, et deux enfants. Je lis et j'écris depuis toujours. Et mes auteurs préférés sont Tolkien, Balzac et Austen, sans oublier JKR qui m'a redonné goût à l'écriture, puisque j'ai recommencé avec quelques fictions.

 

Bref, URL et IRL sont liés par les livres, les écrits...
 
- Je suppose que c'est d'avoir écrit des fanfictions (c'est une fiction écrite par un fan, au cas où) qui t'a poussé à écrire et à créer ton propre univers ? Peux-tu nous raconter comment t'es venu le déclic ?
 
- C'est d'avoir lu qui m'a poussé à écrire, mais j'écrivais déjà adolescente. J'avais par exemple de "super notes" en rédaction, pour mon imagination. On avait écrit une pièce de théâtre avec des copains, jamais jouée... Le déclic est revenu en lisant des fanfictions, j'ai eu envie de m'y essayer pour écrire autre chose que les petits poèmes que je faisais. Cela m'a amusé, puis j'ai tenté mes propres personnages dans des fictions avant de créer toute mon histoire. Pas de vrai déclic, donc mais plutôt un retour à l'écriture.
 
- Explique-nous comment t'es venue cette idée ? As-tu eu une sorte de révélation ? Ou as-tu imaginé ce monde petit à petit ?
 
Attention, légers spoilers !
 
- Comme il n'y a pas une mais plusieurs idées à la base de ce livre, il ne peut y avoir une seule réponse. Irwam est venue s'imposer à moi, avec le Voile. Ce personnage est la déviance d'un personnage que j'avais créé pour un projet de fiction, mais que j'avais finalement mis sous le coude. Je l'ai retravaillé, amélioré et Irwam est née. Le Voile a suivi, comme une entité, une part d'elle... Pour la partie derrière le Voile, elle est venue d'un coup. J'ai posé quelques scènes que je voulais aborder et quelques notions sur les personnages. Puis, un matin, j'avais l'histoire, toute la trame. Il ne me restait qu'à l'écrire. Enfin, la partie de ce côté du Voile s'est imposée peu à peu, déroulant des deux autres, venant s'imbriquer. C'est la partie la moins "magique" et il me fallait raccrocher au réel, gommer toute trace de magie. Pas facile. Mais au final, c'est une partie que j'aime beaucoup et Coline est si adorable.
Voilà, tout est imaginé, avec des traces sûrement de mes lectures...

 
- Parle-nous un peu de La complainte d’Irwan. L’histoire, les personnages, etc. 



- Mon livre raconte l'aventure d'Irwam, une jeune femme un peu particulière qui vit dans le sud de la France, la majeure partie du temps et a pour mission de protéger le Voile. C'est une barrière magique ! Or, comme toutes les limites, elle est soumise à la pression, ici des monstres qu'elle enferme dans les mondes du Voile : vampires, fantômes, et autres joyeusetés... Irwam va être confrontée à un dilemme, en rencontrant Nathan, un jeune homme de 18 ans chez qui elle détecte un pouvoir oublié. Il est à lui seul capable de créer un nouveau monde, acte réprouvé par les gardiens du Voile. Mais, lorsque l'amour s'en mêle... les situations deviennent parfois complexes. Les autres personnages ne sont pas présentés dans le résumé : Coline, meilleure amie de Nathan, qui va l'aider surtout à accepter la réalité. Cassiodore, le magicien et Leandre, un chevalier, qui vivent dans un des mondes du Voile... Ils sont l'apport magique de cette histoire, le petit côté fantasy ! Sans oublier le méchant... Mais qui est le véritable méchant ?
 
- Peux-tu nous raconter comment tu as fait pour faire éditer ton livre ?
 
- J'ai envoyé 5 manuscrits en format papier et 7 manuscrits en format informatique. Certains éditeurs m'ont renvoyé le manuscrit sans un mot ! Je trouve cela décevant. Ils ont le droit de ne pas aimer, mais la politesse est la moindre des choses. Sur les 12 manuscrits, au final, j'ai eu 10 réponses. Trois réponses positives en première intention ( sans compter les deux "arnaques" ) mais deux seulement après relecture par un "comité de lecture". Le choix s'est fait sur les relations avec l'éditeur, avec qui j'ai pu discuter, et qui avait des demandes claires et précises. Voilà. Le tout a pris plus de neuf mois.
 
- As-tu eu un sentiment de désœuvrement à la fin de l'écriture de ton livre ?
 
- Le désœuvrement est apparu après l'envoi du manuscrit. Avant, j'ai repris tout le livre, une fois l'écriture terminée, pour le relire en intégralité, voir si je n'avais pas commis d'erreur de structure, puisque le livre a été écrit en morceaux pour certaines parties. Par la suite, il a fallu corriger ! Et encore corriger... Bref, entre la fin de l'écriture et l'envoi aux éditeurs, il s'est écoulé plus de six mois, avec un travail "acharné". Par contre, une fois le manuscrit envoyé, j'ai eu la sensation de vide. Je n'avais pas envie/besoin d'écrire autre chose, et j'ai entamé la longue attente de réponse. Les éditeurs répondent tous au bout de trois à six mois. [S'ils répondent avant, il faut se méfier, c'est sûrement une arnaque, et ils n'ont pas pris le temps de lire. Heureusement, je n'ai eu que deux réponses de ce type sur les 12 livres envoyés (tous formats)]
 
- Un petit mot pour conclure ?
 
- Je me suis amusée à l'écrire. J'espère que vous prendrez plaisir à le lire....
 
- J’ai eu la chance de suivre peu à peu la réalisation de ce livre et il m’est paru évident de le lire à sa sortie, chose faite début mai. J’ai, en plus, eu le droit à une dédicace de l’auteur (so sympathique). J’ai dû attendre d’avoir fini mes partiels pour pouvoir entamer la lecture. Mais ensuite, je ne me suis plus arrêtée de le lire avant de l’avoir terminé, je l’ai lu en trois jours. C’est tellement intéressant de découvrir un nouvel univers, de croiser de nouveaux personnages, de découvrir leurs personnalités au fur et à mesure de l’histoire. Le fait de changer de narrateur est une superbe idée. Les personnages sont attachants. Le Voile est une création surprenante mais intéressante (peut-être à développer un peu plus). A lire !!!  

Zélie

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vendredi 20 juillet 2012

Présentation du blog

Bonjour à tous les lecteurs de ce blog,

Comme vous avez pu le constater, ce blog est en cours de construction. 

Le blog est consacrée à des articles que j'ai déjà écrits mais aussi à des articles que je suis en train d'écrire car cela fait un moment (presque six ans en novembre) que j'écris des articles dans un webjournal. J'ai eu la chance par deux fois ces derniers temps d'écrire des articles et où j'ai pu poser des questions à l'auteur. Ce sont mes fiertés. 

Pourquoi faire ce blog dans ce cas, pour que mes autres amis puissent avoir accès à ces articles. J'ai envie de me lancer dans une autre aventure, d'avoir d'autres avis, un autre public.

J'attends vos commentaires, constructifs bien entendu.
J'écoute tous les conseils et j'aime apprendre donc n'hésitez pas. 

Je vous laisse à la lecture de ce blog. 

A bientôt dans ces pages 


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